“L’enfant sait la fantaisie. L’enfant sait la fantaisie de l’usage. L’enfant sait la fantaisie du jeu. L’enfant sait la fantaisie d’usage du jeu. L’enfant sait la fantaisie d’utiliser les choses par les gestes du jeu.
Qu’est-ce que “l’écrire” à l’heure où les mondes s’effondrent ? Tenir, au fond d’une parole, serait-ce encore imaginable à l’heure des résignations et des désastres ?