Le Tombeau de Jules Renard
et autres haïkus
“Un animal est déjà une métaphore sur pattes : il est une image poétique incarnée, une métamorphose en acte, improbable et néanmoins réalisée là sous nos yeux.” Laurent Albarracin, préface.
Le Tombeau de Jules Renard : un bestiaire, en mémoire de l’auteur d’Histoires naturelles. Jules Renard mérite qu’on se souvienne de lui.
Des haïkus – mais dont Ivar Ch’Vavar pervertit le genre. Ce qui l’intéresse avant tout, ici, c’est comment se forme, s’articule, se déploie (ou évite de se déployer), comment « fonctionne » une image poétique. Quel est le « mode opératoire » de celle-ci ou de celle-là, voilà la question posée dans ces poèmes. Laurent Albarracin s’est chargé dans sa préface d’identifier et de définir quelques-uns de ceux à l’œuvre dans ce recueil.
Avec un frontispice de Dominique Scaglia.