“Si Petr Král connaît parfaitement les techniques du cinéma, s’il peut en spécialiste « démonter la poupée pour contempler de près son mécanisme », ce n’est pas par ce biais qu’il évoque le burlesque dans son livre. Il préfère l’approcher par la poésie telle qu’il la ressent, dans « la chair des images », attentif aux moindres détails que révèle la caméra, parfois à l’insu du cinéaste, et au jeu des acteurs qui sont des somnambules dans un scénario s’improvisant bien souvent au fur et à mesure de l’enchaînement des sketchs.”